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La prescription du bien et l’interdiction du blâmable
7. la prescription du bien et l’interdiction du blâmable
lorsque le prophète r remarquait un acte contraire aux préceptes de l'islam, il réprimandait son auteur de manière convenable. abdullah ibn abbas t rapporte que lorsque messager d’allah r vit une bague en or sur le doigt d’un homme,il l’enleva, la jeta et dit : « l’un de vous recourt à un charbon de feu pour le porter sur sa main[1] ». on suggéra à l’homme après le départ du messager d’allah r de ramasser sa bague pour en tirer quelque profit. l’homme répondit : « non par allah, je ne la prendrai jamais alors que le messager d’allah r l’a jetée »[2].
abû saïd al-khoudri t rapporte qu'il a entendu le messager d'allah r dire : « que chacun de vous change toute mauvaise action qu'il rencontre avec ses mains. s'il n'en est pas capable, qu'il le fasse avec sa langue. s'il n'en est pas capable, qu'il le fasse avec son cœur. »
[1] l'islam interdit aux hommes de porter les objets en or.
[2] mouslim, 2090