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La Solidarité en Islam
Sous catégorie :
Aperçus sur : L’Islam - Le Qur’ân - Le Jihâde - Le Terrorisme
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2011/07/10
2024/11/15
la solidarité en islam :
la dépendance mutuelle entre les musulmans est un des principaux traits de l’islam. les membres de la société se doivent d’être solidaires, de veiller au bien-être et aux intérêts de chaque individu, de maintenir
l’édifice social sur des bases correctes.
le prophète avait dit à ce propos : « le croyant est pour le croyant comme le bâtiment qui se raffermit » en islam, on peut parler de six sortes de solidarités.
solidarité morale : chaque personne se doit de faire montre de respect, de coopération et d’amour pour son
prochain dans tous les domaines. nombreux sont les hadiths du prophète qui incitent à ce comportement.
solidarité de défense :
la défense de la patrie et de la communauté est une charge qui incombe à chaque
personne dans la société islamique. solidarité criminelle : l’islam a imposé au clan d’expier le meurtre par erreur, en payant le prix du sang. a l’origine, le crime retombe sur le criminel, mais il s’agit ici du crime par erreur, - la préméditation là étant inexistante.
solidarité éthique :
la responsabilité incombe à toute la société islamique, puisque l’ensemble de tous ses membres est tenu de se dresser contre les comportements qui nuisent à la société, à ses valeurs ou à son patrimoine.
solidarité économique :
les membres de la société doivent ressentir la responsabilité de leur devoir, ne point commettre d’actes qui nuisent aux gens, comme frauder, lésiner, truster, monopoliser, profiter, etc. cela exige que l’etat intervienne pour empêcher tout ce qui peut nuire à l’un des membres ou à toute la société. solidarité matérielle : elle est illustrée dans les droits prescrits par la chari’a, pour les pauvres ou les nécessiteux, dans les biens des gens aisés.
ce côté englobe :
la zakât, les voeux, les offrandes, les expiations, les aumônes, ainsi que les « waqfs », les legs, les fondations pieuses et les donations. tel est l’islam, en ses grandes lignes, tel qu’il a été révélé et tel que nous le vivons, en tant que troisième et dernière révélation du monothéisme. si jamais quelqu’un manque à ses devoirs ou que d’autres le déforment, ce n’est pas la faute à l’islam, mais à celui qui déraille ou qui déforme ! janvier 2002